Alex LELAURE

À quel âge et dans quel club/contexte as-tu commencé le Ping ?

J’ai commencé le Ping à l’âge de 15 ans dans le club de l’ASPTT Cholet après avoir pratiqué plusieurs autres activités (basket, tennis, football)

Quand as-tu commencé à entrainer et qu’est ce qui t’a incité à choisir cette voie ?

J’ai commencé à entraîner à l’âge de 17 ans en tant que bénévole en soutien d’un éducateur du club, j’allais régulièrement coacher les autres jeunes du club sur les compétitions individuelles. Ayant appris tout seul à jouer sur des créneaux libres pour les adultes, je trouvais important le fait de ne pas délaisser certains joueurs et d’accompagner des jeunes joueurs débutant l’activité.

J’ai vite pris goût à venir relancer et aider certains jeunes pour qu’ils puissent avoir un minimum d’accompagnement.

Qu’est ce qui te passionne dans ce métier ?

La diversité sur la semaine d’entraînement avec des publics différents et des contenus différents, le coaching et l’environnement du club.

Je trouve que l’environnement du club où l’on travaille est essentiel pour pouvoir garder la passion dans ce métier.

Quelles qualités vas-tu rechercher chez un joueur ?

Je vais rechercher à savoir si le joueur est curieux et passionné, cela montre à quel niveau le joueur est impliqué et intéressé par ce sport.

Puis je vais me pencher sur plusieurs points qui me paraissent importants dans la progression d’un joueur : technique, autonomie, esprit « bagarre », côté malin, réflexion, concentration, la curiosité….

Qu’est ce qui te plait chez Butterfly ?

Pour la partie technique, je trouve que les produits sont de bonnes qualité et peuvent répondre à tous types de joueurs (débutant, confirmé, pro) .

L’application Butterfly est également un très bon outil pour tous les joueurs qui débutent sans entraîneur et qui souhaitent s’améliorer.

Quel conseil donnerais-tu à un(e) entraineur qui débute ?

Si je devais donner un conseil à un entraîneur qui démarre, ce serait de démarrer le plus tôt possible sur le terrain avec évidemment quelques bases grâce aux premières formations. Le terrain est à mon sens notre plus grand formateur que ce soit pour les jeunes entraineurs et même les plus expérimentés. Les échanges avec les autres entraîneurs et les adhérents sont aussi importants pour garder la dynamique et pouvoir ajuster et s’adapter sur toute une carrière
Pour conclure, voici une citation adaptée à notre métier : « on ne gagne pas la reconnaissance de nos joueurs parce qu’on est leur coach, on devient leur coach car on a gagné leur reconnaissance. »